«Je n'existe pas et je n'ai jamais prétendu exister. Ce que je suis, c'est du vent, mais le vent est fort.»

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«Je n'existe pas et je n'ai jamais prétendu exister. Ce que je suis, c'est du vent, mais le vent est fort.» Tumblr_mtdjs6wcV81sbvr5ao1_500

MON PERSONNAGE

• NOM ET PRÉNOM : Elysra Olyxa Serty
• SEXE : Féminin
• ÂGE : 25 ans
• MÉTIER : Avocate.
• SIGNE PARTICULIER : Ce n'est pas tant
un signe distinct, mais plutôt
quelque chose qui la caractérise :
elle a des multitudes de petites cicatrices
sur les poignets et un peu partout sur le corps.

• FACTION : Sincère
• FACTION D'ORIGINE : Audacieux
• DIVERGENT ? : :sisi:
• ORIENTATION SEXUELLE : Inconnue.
• AVATAR : Iga Wysocka

SON PHYSIQUE

Peut être présenter sous forme de liste.
~Et l'apparence reflète que ce que l'on veut bien montrer, et moi je ne montre rien, alors mon apparence reflète quoi ? Rien ? J'en doute. ~

«Tu te tiens là. Devant le miroir qui te renvoie ton reflet, comme ça, innocemment, sans même se douter que pour les Altruistes, c'est quelque chose qui mériterait un châtiment. Parce que c'est considéré comme vanité. Mais tu n'es pas une Altruiste, tu es une Sincère et tu peux donc aisément te regarder dans le miroir sans qu'on ne te le reproche. Et tant mieux parce que tu prenais plaisir à te regarder dans cette vitre qui te montrait ton apparence. Ce n'était pas que tu étais vaniteuse, non, tu aimais ça c'était tout. Tu aimais voir tes cheveux tomber en cascade dans ton dos, ou encore être répartis de façon bien ordonnée sur le côté. Tes cheveux si beaux, si pâle, de ce brun si pâle et pourtant avec de magnifiques reflets roux et dorés quand une lumière les éclairait. Tu adorais les voir. Parce que tu te devais d'admettre qu'ils étaient beaux. Et tu t'amusais si souvent à planter ton regard dans sa réflexion. Cette couleur verte émeraude qui parvenait si souvent à t'envoûter, et tu restais là, à te regarder, pendant de longues minutes, à affronter ton propre regard. Et par la suite, tu passais ta main sur ton visage, sur ta peau d'une blancheur éclatante parce qu'elle ne prenait pas le soleil. Et puis tu plantais tes ongles dans la peau de ton visage. Et puis tu te donnais une claque. Tu essayais de te faire mal. Mais toujours le même résultat. Tu ne ressentais absolument rien. Pas même la sensation de ta main qui passait sur ton visage. Et par la suite, tu fermais les yeux. Et tu t'en allais.

SA PSYCHOLOGIE

6 Lignes minimum.

~ Le temps a toujours passé, je n'ai jamais cherché à l'en empêcher. ~

«Le caractère n'est pas toujours précis, parfois un peu évaporé dans l'atmosphère, parfois un peu imprécis, prêt à se perdre dans le limbes, prêt à ne plus être. Le caractère d'une personne n'est pas toujours fait pour se fonder, devenir fort. Et elle, elle, elle est de ce type de personne. Elle est de ceux au caractère éphémère. De ceux qui n'ont rien de précis, qui semblent pouvoir s'évaporer, s'en aller, s'envoler, d'un instant à l'autre. Elle est de ceux qui sont parfois décis, parfois indécis, sans réellement être quelque chose, sans vraiment être quelqu'un. Oui, elle est de ceux qui n'ont pas de personnalité propre et qui pourtant ont le plus de personnalité. Aussi contradictoire. Étant autant de fois un paradoxe qu'il ne le faudra. Elle, elle est elle. Elysra O. Serty. Sans plus et sans moins et elle ne cherchera jamais à être plus qu'elle-même.

Alors voilà. Elle est là. Sans but précis. Juste là, immobile, sans réagir. Juste là. Le visage neutre. Comme si elle n'avait rien, comme si elle ne ressentait rien. Toujours ainsi, le visage sans rien, aucune émotion, aucune réaction, toujours sérieuse. Et parfois, tout change. Parfois, ça éclate. D'un coup, comme ça, sans prévenir. Parfois le calme laisse place à une tempête intense qui n'aide en rien, et la tempête prend du temps, beaucoup de temps, avant de se calmer. Parfois, c'est comme ça et parfois, ce ne l'est pas. Parfois le calme, il reste, le sérieux demeure et parfois, tout éclate, l'orage tombe, l'éclair frappe.

Et elle erre comme ça, sans réellement être là et pourtant, elle est là. Elle est capable de discuter, mais jamais sans prendre un ton plus haut, arrogance. Mais jamais sans manifester un mépris glacial envers les autres, jamais sans ça et pourtant, pourtant elle est généreuse, elle. Pourtant, Elysra n'hésite pas avant de donner, sauf qu'un noir sans nom emprisonne son âme et elle réagit comme ça, sans chercher plus loin, prenant le ton qu'elle veut prendre, le premier qui lui vient à l'esprit, sans chercher plus loin. Pourquoi le ferait-elle ? Elle n'a aucun mérite à ne pas parler comme elle en a envie, après tout. Et pourquoi devrait-elle se casser la tête alors qu'elle veut parler comme ça ?

Et la franchise. La franchise... c'est une part cruciale d'elle-même. Elle n'a jamais su mentir. Rectification, elle n'a jamais voulu mentir, étant ainsi une petite parfaitement honnête vis-à-vis des autres, disant ce qu'elle pensait, rétablissant les vérités qui pouvaient exister. Sans voile. Sans rien. Laissant ainsi les vérités avaient toutes les dents tranchantes qu'elles contiennent. Parce qu'elle ne voulait pas se casser la tête à déformer les faits, elle préférait simplement les dires et observer. Observer ceux qui l'entouraient et apprendre. Apprendre quand ceux-ci mentaient. Parce qu'elle parvenait bien à être silencieuse et ne faire que ça, observer. Et elle trouve ça amusant, d'observer.

»

SON HISTOIRE

10 Lignes Minimum.

~Et quand bien même je serais dans une certaine divergence, mon cœur sait où il va. ~

« Une fille. C'était une petite fille qui était dans les bras d'une adulte. Une femme. Une magnifique femme avec une belle chevelure et son habit de cuir malgré que l'accouchement s'était produit il n'y avait pas tant longtemps que cela. Les restrictions vestimentaires duraient partout, même lorsqu'on avait une petite fille. Aussi jeune soit-elle. Et cette petite était vraiment jeune, mais il n'était sans doute pas nécessaire de le répéter, parce que forcément, si l'accouchement avait eu lieu il n'y avait pas tant de temps auparavant, c'était que la petite dans les bras de la femme était un nouveau-né et qu'elle avait tout un avenir devant elle, restant aux parents de décider si elle pourrait se le confectionner elle-même ou si elle se verrait obligée de faire comme eux, toujours comme eux. Un homme entra. Il s'approcha. Son regard reflétait une dureté. Il n'y avait aucune tendresse à croire qu'il ne l'aimait pas et que ce ne serait jamais le cas. Il s'accroupit et ce regard sévère alla se planter dans le regard incrédule du bébé. «Ne nous fais pas honte. Sois gentille et fais bien les choses.»

« Le temps. Il passe. Les âges, ils augmentent. Et tout évolue. Absolument tout. Pour le meilleur ou encore pour le pire, cela importe sans doute très peu. Et une petite fille. Une toute petite fille pleine d'énergie, mais néanmoins bien trop calme pour son âge, ses deux grands yeux tournés vers l'adulte qui se trouve non loin de là. Et cette petite fille qui était-elle ? C'était toi. Tout bonnement toi qui regardait cet homme tranquillement, cet homme qui ne te prêtait aucune attention et tu ne faisais rien, tu ne disais rien, tu étais juste là, dans cette attente qui aurait pu être insoutenable, mais que tu soutenais que trop bien. Tu t'étais posée sur une marche et tu le regardais. Une marche ? Non. Sur la terre directement du souterrain. On t'avait dit que c'était une faction. Une faction dans laquelle tes parents étaient. La faction des audacieux, il te semblait avoir entendu. On t'avait dit ça et tu ne peinais pas à les croire. Les habits étaient tous pareils et tu trouvais ça amusant, voir ridicule, mais on t'avait appris à te taire, ce que tu n'aimais pas. Alors tu t'isolais. Tu t'isolais parce qu'il n'y avait pas autre chose à faire et ton regard le fixait.

Et une femme arriva. Devant toi. Elle s'accroupit et tu serras les points. Tu ne l'aimais pas. Tu n'étais pas capable de ressentir ce que tu devais ressentir pour elle, parce qu'elle était aussi pire que cet homme. Ceux-l avaient un nom particulier. Celui de parents, mais ils n'étaient pas tant tes parents, ils s'occupaient que trop rarement de toi et tu gagnais de jour en jour la hâte de ne plus être à leurs côtés. Ils se disputaient toujours. Ils t'entraient toujours dans leurs problèmes. Tu leur servais comme d'appât, comme de calme-jeux ou encore de bombe et ça t'agaçait. Tu le leur disais de façon encore moins polie, mais tu recevais une claque de la part de ton père. Et ta mère restait là, sans réagir. C'était ça qui faisait naître cette rage étrange dans ton cœur, qui augmentait cette violence contenue. Et là, devant cette femme qui se prétendait mère, tu te sentais perdre les moyens. Et ton poing alla s'écraser dans sa face avant que tu te lèves. Et de partir. Tu ne voulais plus la voir. Tu tremblais. Mais tu étais apaisée. Soulagée. C'était fait.

«Il te regardait. Tu le regardais. Le silence se faisait. Vos regards se battaient. Vous ne parliez pas. Pas un mot. Il ne fallait pas parler. Tu n'en avais pas envie. Il ne voulait pas. Alors vous étiez quitte, vous vous compreniez. Et peu à peu, alors que tu avais ton regard plongé dans celui de cet homme que tu n'avais jamais aimé, tu commençais à ressentir cette envie d'hurler. De le frapper. De lui hurler à la gueule qu'il ne valait rien, qu'il n'aurait sans doute pas dû naître et que cela aurait été mieux, parce que de cette façon tu ne serais pas née et qu'il valait sans doute mieux que tu ne sois pas née, parce que tu n'avais aucune raison d'être dans ce monde. Et tu étais là. Tu avais cette envie d'exploser, mais véritablement exploser, mais tu savais que tu ne le ferais pas, parce que tu ne voulais pas le faire, tu ne voulais pas lui donner cette satisfaction de te voir exploser, de te voir piquer une crise de colère et tu ne voulais pas voir ses yeux briller de joie alors que tu lui donnais une raison de te faire une morale. Tu ne voulais pas.

Alors le silence restait, s'alourdissait tandis que la confrontation visuelle se prolongeait. Vous restiez comme ça. Ni l'un ni l'autre ne semblait vouloir lâcher prise, aucun des deux ne serait prêt à avouer défaite. Tu lui ressemblais tout de même, tout compte fait. Que tu veuilles l'admettre ou pas, tu lui ressemblais en quelques points. Pas tous, c'était sûr, mais légèrement. C'était déjà ça. Vos regards étaient là. Aucune étincelle. Les yeux ternes. Comme des automates. Vous alliez rester là longtemps, parce que la fierté vous poussait à soutenir le regard inlassablement. Le silence demeurait entre vous. Tu le regardais. Il te regardait. Vous ne parliez pas. Vous ne vouliez pas vous adresser la parole, limite si vous ne boudiez pas. Était-ce ce que vous faisiez ? Peut-être, tu n'y as jamais sincèrement réfléchi. Tout ce que tu voulais c'était de ne plus le voir, mais défiler ton regard aurait été de perdre la confrontation et ça, c'était hors de question. Pour tout l'or du monde, tu ne l'aurais même pas fait.

Et c'est une autre personne qui fit que tout cela s'arrêta. Parce qu'autrement, vous seriez restés là aussi longtemps qu'il le faudrait. Aucun des deux n'aurait céder. Trop fier. Trop digne. À ce moment précis, tu étais le portrait de ton père, mais il n'aurait surtout pas fallu te le dire, parce que tu serais entrée dans une colère noire qui aurait tout ravagée. C'était ta mère qui était intervenue. Elle vous observait depuis le début et elle sentait un malaise envahir l'air, alors elle était arrivée et elle s'était interposée. Entre lui et toi. Pour que vous ne puissiez plus vous regarder et à cet instant, tu la détestais. Parce qu'elle avait brisé quelque chose. Mais tu ne le lui fis pas remarquer. Tu ne fis que te lever. Et là, la voix de ton père retentit. Il avait dit quelque chose. Tu ne compris pas trop quoi, mais tu savais que ta réponse avait tapé dans le mille. «Il faudrait que vous soyez mes parents, pour commencer.»

« « Alors le résultat de ton test ?»
« En quoi ça te regarde? »
«Je suis quand même ton père.»
« Non, tu n'es qu'un inconnu portant le nom de père. »

«Le temps avait cette faculté de se faire désirer quand il en avait envie et avec toi, il s'était bien fait désirer, mais ce n'était plus le cas, parce que c'était la Journée que tu attendais qui était aujourd'hui là. Celle où tu choisirais le chemin de ta vie. Tu avais l'âge à présent. Et le test était fait. Oh, il n'avait pas été concluant, mais tu ferais sans. Tu n'avais pas besoin du test de toute évidence, parce que tu savais très bien où tu allais aller, tu connaissais ce que voulait ton cœur, tu n'avais pas besoin qu'on te le dise. Tu allais écouter ce qu'on avait cherché à bâillonner depuis ta naissance sans y parvenir, parce que ton cœur parlerait toujours et on ne pourrait jamais le faire taire, tu l'écouterais toujours. C'était ça que tu écoutais, toi. Pas tes parents. Pas ton père qui avait tenté maintes fois de contrôler ta vie, tentatives qui récoltaient que des échecs. Tu allais leur montrer que ta vie, c'était toi qui la choisissais et uniquement toi, personne d'autre que toi. Tu inclinas la tête, regardant les autres passer devant toi.

«Elysra Olyxa Serty.»

Tu te levas immédiatement en entendant ton nom. C'était le moment que tu attendais depuis toujours. Ton cœur battait normalement. Tu n'étais pas un poil nerveuse. Tes yeux étincelaient même d'une victoire, parce que tu te savais victorieuse sur tes parents. Ton père, d'ailleurs, te lança comme un regard d'avertissement. Il n'était pas idiot, il savait que quelque chose allait se passer, il le sentait dans ton attitude, mais jamais il n'aurait pu imaginer que ce serait ça. Il se serait douté de tout, sauf ça. Tu pris le couteau dans tes mains, déterminée, sûre de toi, sans aucune hésitation et tu coupas. Ta main se mit automatiquement au-dessus du bol que tu avais si souvent imaginé et la goutte de sang tomba.

« Sincère !»

Cette victoire était la meilleure de toutes.

« Tu savais que cette victoire entraînerait des conséquences. Parce que ton père était fier et il ne te laisserait pas t'en tirer ainsi. Tu le savais ça. Et tu t'en amusais même. Parce que tu voulais qu'il réagisse. Tu voulais lui montrer qu'entre toi et lui, tu étais la gagnante. Parce que lui, il n'était qu'un vulgaire perdant et tu avais décidé ça quand tu avais été en âge de comprendre que ce n'était qu'un idiot qui avait eu l'étrange culot de se prétendre être un homme, puisque ce n'était pas un homme, mais un gamin. Et ce gamin était venu te rejoindre après que tu sois sortie de la salle. La rage était ancrée dans ses yeux et cette petite voix dans ta tête te félicitait, parce qu'il était dans tous ses états et que ça, c'était si beau à voir. Sadique ? Peut-être un peu, mais il le méritait après tout.

« Dis-moi que c'est une blague ! Tu n'es pas capable de me faire une honte pareille ! »
« La blague, c'est d'avoir été dans ta faction, d'avoir été ta fille. »
« Dans ce cas et à partir de maintenant, tu n'es plus ma fille. Tu n'existes plus aux yeux de ta famille, de tous les Serty. Un Serty est audacieux. Maintenant sors de ma vue. »
« Au revoir, Hisya. »

→ DERRIERE L'ECRAN ←

• PRÉNOM OU SURNOM : Luny pour vous servir !
• SEXE : Féminin
• ÂGE : XX ans

• QUELQUE CHOSE A DIRE POUR AMELIORER LE FORUM ? : XX
• PRÉSENCE : Bon ok, je suis pas présente du tout cette semaine, mais après c'les vacances. XD
• CODE DU REGLEMENT : Mangé ♥

CODAGE PAR PUPPY SUR LG

Bienvenue Luny ♥

HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRY
EN PLUS T'AS PRIS UNE PHRASE DE DÉGRAD NON MAIS.

Merci. ♥

Bienvenue ! Trop de Luny ici «Je n'existe pas et je n'ai jamais prétendu exister. Ce que je suis, c'est du vent, mais le vent est fort.» 1952930797

Bienvenue Luny chérie ♥ !
Wsh nous on fait Larry mgle.

Bienvenue Luny ♥
Décidément tout CD sera rapatrié ici avec le temps ♥.

Salut ! Bienvenue, miss Luny !

Bienvenue ! «Je n'existe pas et je n'ai jamais prétendu exister. Ce que je suis, c'est du vent, mais le vent est fort.» 4160241592

Luny ! ♥
Ou comment caser trois Y dans un nom.

Merciii ♥

Ouaip, tout CD sera ici. *^*

Bienvenue Luny «Je n'existe pas et je n'ai jamais prétendu exister. Ce que je suis, c'est du vent, mais le vent est fort.» 201461114

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JAYCE %D

Merci !

Bienvenue ! ♥

Merci ♥ + Fini bon dieu, j'ai finiii.

Tout est bon dans ce cas la :D
Je te valide avec plaisir ♥
N'oublie pas d'aller te recenser ~