Journal d'une Vie.

Sommaire

Les évènements du passé de David, heureux ou douloureux, sa vie seront relatée ici, dans ce journal. Il est, je pense, important de se plonger entièrement dans un personnage et David m'offre cette possibilité, son histoire est déjà assez longue mais tout n'y est pas détaillée, et j'ai envie de décrire encore plus ce personnage.

• Naissance → 0 ans.
• Crise d'Adolescence → 15 ans.
• Fugue → 15 ans.
• Le Test → 16 ans.
• Cérémonie du Choix → 16 ans.
• Une rencontre → 17 ans.
• Est ce que tu m'aime ? → 19 ans.
• La vie à deux ... → 20 ans.
• ... Et bientôt à trois → 20 ans.
• Devenir Père → 20 ans.
• Nager en plein bonheur → 22 ans.
• La famille s'agrandit → 24 ans.
• Petit Frère ou Petite Sœur ? → 24 ans.
• Les années passent ... → 28 ans.
• ... et les enfants grandissent → 36 ans.
• Chacun leurs tours → 40 ans.
• Avant le drame → 43 ans.
• Meurtrier ? → 43 ans.
• La perte d'un fils → 43 ans.
• Trouver Refuge → 43 ans.
• S'en remettre → 46 ans.

Naissance

« Par la maternité, la femme se relève et s'élève. Elle n'est plus irresponsable et désœuvrée. Elle tient dans ses mains — elle le sait — l'œuvre de l'avenir, et elle en répond. La trame qu'elle ourdit est celle de l'humanité. La fonction qu'elle accomplit est la plus haute, la plus noble, la plus difficile de toutes les fonctions. En est-il, en effet, de plus difficile, de plus noble et de plus haute que celle de concevoir un enfant, de le porter neuf mois dans ses entrailles, de lui donner la vie au risque de perdre la sienne, de l'allaiter pendant plus d'une année, de l'élever, de l'instruire, de discerner ses qualités, de reconnaître ses défauts, de former son caractère, son cœur et son esprit ? » Emile de Girardin. Pensées et maximes.

Il était aux alentours des cinq heures du matin, le soleil n'était pas encore levé mais l'aube pointait déjà à l'horizon, après une nuit longue et difficile, douloureuse, interminable, mais le supplice arrivait à sa fin, 9 mois pour arriver à ca, à cette douleur pourtant si infime à côté du bonheur que cela procurait, donner la vie, devenirs parents à son tour. Mes parents avaient choisis d'attendre cette naissance pour connaître le sexe de leur enfant, un peu comme une surprise que l'on se garde d'ouvrir de nombreuses fois pour en profiter plus pleinement le jour venu, mais les prénoms étaient déjà choisis depuis de nombreux jours. David pour un garçon, Emma pour une fille.

Ce ne fut pas bien long, mes premiers pleurs et cris résonnèrent dans la pièces aux murs blancs, mes yeux encore bleus et qui deviendront noisette par la suite s'ouvrirent au monde, l'air pénétra mes poumons, je vivais. Je fut posé sur le ventre de ma mère, peau contre peau et mes parents découvrirent un petit garçon en pleine forme. 3.5 kg pour 43 cm. La norme. Mais c'est quoi, la norme ? Quelque chose dans lequel on vous place sans même vous demander votre avis. Je fut placé dans cette norme à ma naissance, d'après les médecin, j'étais tout ce qu'il y a de plus normal, aucun problèmes.

On m'attribua ce nom que je porte aujourd'hui. David. David Lecter.

Crise d'Adolescence

« Par toute son éducation, par tout ce qu'il voit et entend autour de lui, l'enfant absorbe une telle somme de sottises, mélangés à des vérités essentielles, que le premier devoir de l'adolescent qui veut être un homme sain est de tout dégorger »

Cela faisait déjà plusieurs jours que je ne m'entendais plus avec ma mère. Je n'avais jamais réellement connu de limites au cours de mon éducation et la, d'un coup, je m'étais retrouvé limité dans toute mes actions. Un grand changement, s'ajoutant à cela ce qu'on appel " l'âge ingrat ", je me cherchais, tout simplement. Les disputes étaient devenus le quotidien de notre petite famille, les disputes entre ma mère et moi principalement. Mon père travaillait et, lorsqu'il rentrait le soir, il s'en foutait complètement des disputes, il voulait juste être tranquille.

Je me souviens d'une énième dispute au sujet d'une sortie nocturne. Je ne comprenais pas à l'époque pourquoi elle refusait que je sorte avec des amis à moi. J'étais sans doute un peu bête, enfin même beaucoup. Je ne comprenais tout simplement pas, ou du moins je ne voulais pas comprendre pourquoi. Quand j'y repense j'ai vraiment rendu fou mes parents, je ne sais pas comment ils ont fait pour me supporter.

Le sujet de ses disputes tournaient aussi autour du fait que je mente souvent. J'étais un Sincère, ce n'étais pas normal pour mes parents, ils ne voulaient pas comprendre que j'avais mes petits secrets comme tout le monde, mais aujourd'hui je me rend également compte que j'aurais du m'adapter à ma faction et ne pas avoir cet état d'âme.

Fugue

« Ces fugues sont fréquentes. Ca se termine classiquement par une rentrée au bercail, l'oreille basse. » Louis Aragon, Les Beaux Quartiers.

Je me rappel de cette fugue. Ce n'étais pas la première, j'étais déjà partit plusieurs heures en après midi sans prévenir personne mais je rentrais souvent le soir, avec des remords. Mais celle la n'était pas pareil, j'étais réellement en colère contre ma mère, elle m'avait donnée une gifle dont je me souviens toujours, pour, par contre, je ne sais plus quelle raison. Mais je sais que j'étais partit de la maison en claquant la porte derrière moi, m'engouffrant dans les ruelles du quartier. Je n'étais pas rentré de la journée, pas de la nuit non plus d'ailleurs. Cela à dut être la plus longue fugue que j'ai fait. Je n'en suis pas fier à l'heure actuelle, je me rend simplement compte de mon état d'âme de l'époque, celui d'un rebelle, mais comme on dit, les mentalités changent en grandissant.

Enfin bref, revenons à notre sujet, cette fugue. J'étais partit en début d'après midi après avoir reçu cette gifle. J'avais tout de même pris mes clés et un peu d'argent pour me nourrir avant de claquer la porte derrière moi, histoire de montrer mon mécontentement à mes parents. J'ai couru, longtemps, dans les rues pour me défouler surement, je me fichais bien des personnes que je croisaient, je ne voulais voir plus personne, être seul, simplement.

Je ne suis pas rentré de l'après midi et ai mangé en ville, je m'en souviens encore, beaucoup me regardaient bizarrement, après tout, un Sincère de 15 ans trainant seul dans les rues à le tombée de la nuit ... Je ne suis pas rentré de la nuit non plus, j'ai dormis chez un ami. Mes parents ont du s'inquiétés durant cette période, mais, à l'époque, je m'en fichais. Je ne suis rentré que le lendemain en cours de mâtiné. J'appréhendais la réactions de mes parents mais ils étaient trop inquiet pour m'engueuler de nouveau.

Le test

« En œuvrant ensemble, ces cinq factions vivent en paix depuis de nombreuses années, chacune apportant sa contribution à un aspect de la société. Les Altruistes répondent à notre besoin en responsables politiques dévoués. Les Sincères nous fournissent des responsables juridiques honnêtes et dignes de confiance. Les Érudits nous donnent des enseignants et des chercheurs de haut niveau. Les Fraternels nous procurent des conseillers et des soignants compréhensifs. Et les Audacieux nous protègent des menaces de l'intérieur comme de l'extérieur. Mais la mission des factions ne s'arrête pas là. Nous nous apportons bien plus qu'on ne peut le résumer en paroles. Ce sont les factions qui nous fournissent à tous un sens, un but à nos vies. » Veronica Roth, Divergente

Le jour du test. Qui ne se souviens pas de ce jour durant lequel votre vie peu basculer à jamais ? Ce jour ou l'on vous annonce que vous devez tout quitter pour réussir, ce jour la. Je ne me souviens plus de mon était général me je me rappel être assez sereins. Après tout, je n'avait pas grand chose à cacher, je redoutais simplement qu'on me dise que je suis Divergent. Ca aurait pu arrivé, à l'époque je ne me trouvait de correspondance avant aucune des factions. Je mentais trop pour être Sincère, je n'étais pas assez Audacieux pour l'être et surement un peu trop pour devenir un Fraternel ou un Altruiste. Il restait seulement les Érudits. Mais je n'imaginais pas forcément d'avenir la bas. Enfin, tout ca, c'était avant le test.

J'étais entré dans cette salle aux nombreux miroir, un Altruiste était la et m'attendais - surement - pour me dire de m'assoir. Je me suis exécuté et j'ai bu leurs liquide bleu, pas vraiment de gout particulier, mais la couleur était réellement assez bizarre. Enfin bref. Lorsque je me suis réveillé, l'Altruiste tapotait sur un clavier d'ordinateur. Après plusieurs instant il releva la tête vers moi et m'annonça Érudit. Je fut surpris sur le moment, je ne dit rien et sortit de la pièce, en pleine réflexion sur mon futur.

Cérémonie du Choix

« L'intelligence au service du progrès. »

TEXTE TEXTE TEXTE.

Une Rencontre

« Qu’avions-nous en commun ? Sans doute un rêve, celui de pouvoir naviguer en toute liberté et rencontrer des êtres et une nature rendant absurde la question du sens de la vie. »

TEXTE TEXTE TEXTE.

Est ce que tu m'aime ?

« Quand on aime une personne, on la prend dans sa globalité, on aime pas seulement les cotés les plus faciles à aimer. »

TEXTE TEXTE TEXTE.

La vie à deux ...

« Une langue se boit et se parle, et un jour elle vous possède ; alors, elle prend l'habitude de saisir les choses à votre placent elle s'empare de la bouche comme le fait le couple dans le baiser vorace. »

TEXTE TEXTE TEXTE.

... Et bientôt à trois

« Le cerveau a la pensée, le cœur a l’amour, le ventre a la paternité et la maternité. » Victor Hugo.

TEXTE TEXTE TEXTE.

» Journal de Sam.
» Journal de Jules.
» Journal de Jonathan.
» Journal de bord d'une Audacieuse